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GR20 2022 ⚪️🔴




Cette aventure en autosuffisance dont je rêvais depuis quelques temps est enfin devenue réalité!

Cela lui valait bien le premier « VLOG» de ma vie! Vous le retrouverez en 3 parties sur insta 🙃

Il est un peu long, mais c’est ce qu’il faut pour vous présenter un peu les sentiers et l’ambiance du GR20.


Le but de cet article est quant à lui de pouvoir vous aider à préparer votre GR20 🙃


En effet, pour profiter pleinement de son aventure et éviter certaines déconvenues, il est opportun de se renseigner et de préparer cette dernière.


Avant toute chose, il vous faudra vous rendre au point de départ.


Si vous partez par le nord, vous pouvez choisir d’arriver directement à Calvi qui est juste à côté de Calenzana le village de départ du GR20. Mais s’il vous est plus simple d’arriver à Bastia ou Ajaccio, sachez que le train vous mènera sans difficulté à destination.

Descendez à l’arrêt « camp raffali » qui est celui juste avant Calvi, et dirigez vous vers le rond point à 5 min de là qui dessert la route de calenzana pour faire du stop. Le village se trouve à 8km de là.


Si vous partez par le sud, un bus pourra vous conduire à Sainte Lucie de Porto vecchio, et de là vous pourrez prendre un taxi, faire du stop ou marcher pour vous rendre à Conca.


⚪️🔴


Le GR20 se décompose en 16 étapes. Il faut savoir que le bivouac sauvage y est formellement interdit.

A la fin de chaque étape, se trouve un refuge dans lequel passer la nuit.

Il est possible d’y louer un lit en dortoirs ( ⚠️attention aux punaises de lit), une tente (simple, double ou même triple) ou bien un espace pour poser sa propre tente.


En pleine saison, les refuges affichent en règle générale complets, il est donc très important de réserver en amont si l’on ne possède pas sa propre tente pour ne pas se retrouver bredouille.


Pour ceux qui feront le choix de partir avec leur propre tente comme je l’ai fait, sachez que réserver à l’avance vous permettra de payer moins cher. En effet, le coût sur place est de 12€ par personne,alors qu’il est de 7€ si on réserve en avance sur le site du parc (pnr-resa.corsica).


Vous comprendrez assez vite que prendre sa propre tente apporte une flexibilité non négligeable! Car il est compliqué de bouger ses réservations sur un GR où on ne capte vraiment pas souvent. Et parfois la réalité du terrain peut nous amener à vouloir modifier le planning établi avant le départ.


Les refuges sont relativement flexibles pour les réservations de places de bivouac. Je n’ai pas eu à repayer du fait de m’être arrêtée plus loin que prévu. Mais si j’avais réservé des tentes, j’aurais été bloquée car impossible de savoir si une tente est dispo dans le refuge suivant.


A savoir qu’il est également possible de dormir dans les bergeries se trouvant sur le chemin. En règle général, vous avez ainsi plus de chance de prendre une douche chaude! Haha 🙃


🎒⛺️


Je vous emmène à présent dans mon sac!

Tout d’abord mon sac est un forclaz 40L de chez DECATHLON, un premier prix qui a bien fait le travail. Pas de frottement et possibilité de réglages adaptés. En revanche, pas du tout respirant! J’ai beaucoup transpiré du dos.

Dedans, j’ai pu y caser:

⁃ Ma tente de trekking 2 places

⁃ Mon duvet de trekking

⁃ Mon matelas gonflable de trekking

⁃ Mon petit oreiller

⁃ Ma trousse à pharmacie: Doliprane, smecta, strap, anti-histaminique, cortisone, anapen (je suis allergique aux guêpes et il y en a plein), désinfectant, pansements, petits ciseaux, protections féminines.

⁃ Trousse de toilette: un savon, petit dentifrice, petite brosse à dents, deo, lingette bébé, crème solaire, crème hydratante, parfum & rouge à lèvre (🤷🏽‍♀️👸🏽)

⁃ Papier toilette

⁃ Sac poubelle

⁃ Serviette micro fibre

⁃ Lampe frontale

⁃ Batterie externe et câble de recharge pour iphone, lampe frontale et montre

⁃ Claquettes

⁃ Boules quies

⁃ Vêtements pour le soir: legging, t-shirt, seconde peau, chaussettes chaudes, bonnet, petit sweat.

⁃ Culotte, chaussettes, brassière, t-shirt et short de rechange

⁃ Lunettes de soleil

⁃ Casquette

⁃ Veste coupe vent imperméable

⁃ Du fil pour étendre le linge

⁃ De l’espèce, très important car aucun refuge ne prend la carte bleue! On est en montagne sans réseau!

⁃ Ma nourriture, je vous détaille ça juste après.

⁃ Ma popote, mon réchaud, mon assiette/bol rétractable, mon verre, mon opinel

⁃ Mes bâtons de marche





Pour ce qui est de mes repas, cela peut largement être optimisé 😅🙈

J’ai amené pas mal de denrées « plaisir » qui sont venues alourdir considérablement le poids de mon sac, tel que des paquets de bonbons, un pot de pâte à tartiner, des crêpes, du sirop...

Je les ai consommées au maximum en début de GR20 pour alléger le plus rapidement mon sac qui me pesait au sens propre comme au figuré!

Sinon, j’ai essentiellement mangé des purées, des soupes, du taboulé, des pompotes, des barres de céréales, des noix de cajoux, des abricots secs, des cacahuètes, et des terrines veggie de chez Bjorg.


Maintenant que j’ai vu comment cela se passe sur les refuges, je sais que je n’aurais pas dû autant me charger. Même si cela n’est pas donné, il est facile de se ravitailler en cours de route, et chaque refuge dispose d’un espace cuisine avec des casseroles et des réchauds pour que nous puissions cuisiner.


J’aurais pu m’acheter des pâtes et de la sauce directement sur place. Un paquet de pâte est vendu en moyenne 3,5€, une sauce tomate basique dans les 2,5€. Bref, le prix du transport en hélicoptère y est imputé.

J’aurais pu m’enlever quelques précieux kilos si j’avais su tout ça avant le départ!


Les refuges vendent également des salade de thon en boîte pour les non veggie, des taboulés, des gâteaux, des pompotes, de là pâte à tartiner, des barres de céréales, de la charcuterie et du fromage corse.


Nous passons d’ailleurs quasiment sur chaque étapes dans des bergeries où il est également possible d’acheter des produits locaux directement aux producteurs.



Le Parcours


Étape 1: Calenzana ➡️ Ortu

Étape 2: Ortu ➡️ Carruzzo

Étape 3: Carruzzo➡️ Ascu

Étape 4: Ascu ➡️ Tighettu

Étape 5: Tighettu ➡️ Ciottulu a i Mori

Étape 6: Ciottulu a i Mori ➡️ Manganu

Étape 7: Manganu ➡️ Petra Piana

Étape 8: Petra Piana ➡️ L’Onda

Étape 9: L’Onda ➡️ Vizzavona

Étape 10: Vizzavona ➡️ E Capanelle

Étape 11: E Capanelle ➡️ Prati

Étape 12: Prati ➡️ Usciolu

Étape 13: Usciolu ➡️ Maltaza

Étape 14: Maltaza ➡️ Asinau

Étape 15: Asinau ➡️ I Paliri

Étape 16: I Paliri ➡️ Conca




J’ai trouvé que les topos étaient assez proches de la réalité concernant la description du terrain mais très éloignés pour ce qui est des temps à prévoir.

J’ai mis en moyenne la moitié du temps annoncé ou au moins un 1/3 en moins sur les étapes les plus techniques.


Cela peut être embêtant pour les réservations…


Si vous êtes un bon marcheur, prenez cela en compte.


J’ai débuté mon GR20 par le Nord. La première étape est très roulante et présente à la fin quelques murs annonciateurs de ce qui nous attend pour la suite! Une sorte de mise en bouche!!


Les étapes 2, 3, 4 et 7 sont les plus alpines! Sur la 2, nous passons notre première crête et les premiers gros et longs pierriers. La descente jusqu’au refuge de Carrozzu est assez longue pour être éprouvante pour les genoux.


L’étape 3 est clairement de l’escalade du début à la fin. C’est simple les passages où l’on est sur un semblant de sentier peuvent se compter sur les doigts d’une main. C’est mon étape préférée, je l’ai trouvée grandiose!

Je voulais doubler avec la 4 car je suis arrivée tôt à Asco mais il y avait une alerte orage, et personne n’a envie d’être sur une crête durant un violent orage d’été ⛈

J’ai donc joué la prudence et je suis restée à Asco jusqu’au lendemain matin.


L’étape 4 permet d’accès au point culminant de l’île de beauté: le Monte Cinto. On n’échappe toujours pas à l’escalade avec des passages très glissants, non équipés de mains courantes, et parfois escarpés qui peuvent devenir vraiment techniques avec une caravane sur le dos.

La descente qui s’en suit est elle aussi technique et très longue avec un peu plus de 1000m de dénivelé négatif dans un chemin très accidenté et des parois non aménagées à descendre.


L’étape 7 est je pense ma seconde préférée. Nos sommes sur les crêtes qui surplombent les célèbres lacs de Melu et et de Capitellu. Elle est également vertigineuse.



Les étapes 5 et 6 se démarquent des autres du Nord car elles sont beaucoup moins exigeantes. J’ai doublé la 4 avec la 5.


L’étape 6 est la plus longue en distance et cela vaut le coup de prendre son temps pour la faire.

Il y a des vasques magnifiques pour se baigner dans la vallée que l’on descend en première partie d’étape, puis une longue pose au lac de Nino pour profiter de ce lieu hors du temps est pour moi indispensable!

Vous y découvrirez les pozzines, et les chevaux sauvages qui y vivent. Un décor sorti tout droit d’un film fantastique.



L’étape 8 propose une variante qui peut vous faire gagner du temps si vous avez envie de raccourcir ou bien de voir une crête supplémentaire.

Je suis pour ma part restée sur le tracé du GR20 et j’ai descendu la vallée pour ensuite remonter vers l’Onda. Cette option permet de profiter de la rivière ce qui est vraiment agréable surtout quand il fait chaud comme c’était le cas ce jour là! A noter, ils font des frites maisons à tomber au refuges de Petra Piana! En accompagnement de mon repas, c’était parfait!


L’étape 9 qui mène à Vizzavona est pour moi une de celles qui doit se profiter au maximum. Trop de spots de baignades canons dont il faut à tout prix profiter!!!


Je me suis un peu ennuyée sur les étapes 11 & 12 car on est beaucoup dans la forêt. L’avantage c’est qu’elle sont très roulantes et se font donc très rapidement par rapport aux étapes du Nord.


A partir de l’étape 13, on retrouve un peu de montagne mêlée à des parties de sentiers. Les panoramas avec la mer et les montagnes sont magnifiques.


L’étape 14 offre une variante pour passer à nouveau sur une crête au niveau des aiguilles de Bavella. Comme je n’avais pas fait de variante de tout le GR20, j’ai préféré rester encore une fois sur la trace initiale, comme ça, j’ai enfin vu tout le GR20.

Mais si vous décidez de tripler le dernier jour, comme je l’ai fait, je vous conseille de prendre la variante qui fait gagner plus d’une heure sur le tracé initial.


Enfin la dernière étape est plus douce et le paysage encore une fois magnifique.


Sincèrement, il n’y a rien à jeter dans ce GR. Même les étapes où je me suis un peu ennuyée sont bien car elles permettent de récupérer tout en avançant.




Pour résumer mes étapes, j’ai donc fait:

Étapes 1&2 le lundi

Étape 3 le mardi (bloquée pour repartir par l’alerte orage)

Étapes 4 & 5 le mercredi

Étape 6 le jeudi (possibilité de baignade en début d’étape et lac de Nino pour faire pic niquer et flâner au milieu des chevaux sauvages et des pozzines)

Étapes 7 & 8 le vendredi

Étape 9 le samedi et après chill et baignade à la cascade des anglais. J’ai aussi profité d’un bon restau car trop envie d’une pizza pour fêter la mi parcours! Inconvénient, quand tu rates un repas alors que tu l’as prévu, tu n’allèges pas ton sac!!!!

Étapes 10 & 11 le dimanche

Étapes 12 & 13 le lundi

Étapes 14, 15 & 16 pour finir par un belle triplette assez traumatisante pour les genoux le mardi!


Au total:

📏 180 km

⛺️ 9 jours de trekking

⏱69h sur les sentiers à m’émerveiller

📈 12 000 m de dénivelé positifs

📉 12 000 m de dénivelé négatifs



Voilà pour mon retour d’expérience.

Dans tout cela, je ne vous ai pas parlé des rencontres, mais c’est au final ce qui marquera le plus ce petit périple. Les fous rires, les repas partagés, les sommets gravis avec des gens que je ne connaissais pas avant de partir et avec qui nous avons passé des moments que nous n’oublierons pas!


Si j’ai une chose à vous dire, ce chemin se profite, se vit, se partage.


Ne faites pas le GR20 pour cocher une liste, ce n’est pas une chose qui doit se consommer comme on a pris l’habitude de tout consommer aujourd’hui. C’est une chose qui doit se savourer.



Ne faites la course avec personne, prenez le temps qu’il vous faut pour le profiter.


Mes étapes sont notées là dans le but de vous aider pour organiser vos réservations etc, mais sûrement pas que nous fassions la course 🙃


Pour cela, j’épingle des dossards 😉


J’espère que ce petit article vous aidera au mieux dans la préparation de votre GR20 et moi je vous dis à très vite pour de nouvelles aventures sur mon autre caillou cette fois 🇷🇪










Foire aux questions:


Mode trail ou rando?

Les deux sont possibles. En autosuffisance j’ai pour ma part opté pour le mode rando mais les dernières étapes, malgré la fatigue, comme mon sac était plus léger j’ai un peu couru sur les parties qui s’y prêtaient bien.

J’ai croisé pas mal de personnes ayant réservées les repas dans les refuges ainsi que les tentes des refuges qui le faisaient en mode trail. Cela leur permet de n’avoir que le strict minimum dans leur sac, cad duvet compact, serviette, tenue pour la nuit, eau et ravitos pour la journée. Il est possible de se réapprovisionner dans les refuges. Ils vendent des pompotes, des barres de céréales, des gâteaux.

Bref, du moment que l’on choisit de le faire durant la période d’ouverture des refuges, tout est possible 🙃



Pourquoi as tu voulu le faire seule?

Au départ, je devais le faire avec une copine. Elle a finalement opté pour une autre version et moi je ne voulais pas abandonner mon idée de GR20 car cela faisait depuis le Covid que nous en parlions.

J’étais très déçue au début mais j’ai l’habitude de partir seule, et au final je me suis dit que ça serait mieux car je pourrais respecter mon propre rythme et faire vraiment au gré de mes envies.

J’ai vu cela comme une opportunité de prendre du temps de qualité pour moi et de m’ouvrir aux autres, car un GR20 en saison, même en partant seule, on est jamais très longtemps tout seul.

Je suis au final très heureuse qu’elle ait annulé. Ça aurait été sûrement très bien à deux, mais la, vraiment c’était wouahhh 🤩




Comment gères-tu ta sécurité quand tu es seule?

Comme je viens de le dire, en saison on est pas vraiment seul sur les sentiers, mais je donne des nouvelles journalières dès qu’il y a un brin de réseau sur le groupe whatsapp de ma famille et j’active la géolocalisation à mes proches.

Sur ma montre, j’active également le système de sécurité en cas de chute pour qu’elle puisse prévenir les personnes désignées dans mon répertoire (ce qui a ces limites car on ne capte pas souvent).

En général, on capte au moins 2 fois dans la journée mais ça ne dure jamais très longtemps! Donc dès que mon tel vibrait, cela veut dire qu’il avait pu charger les messages en attente, donc je faisais un stop pour répondre et donner des news!



Y a t’il vraiment des punaises de lit?

Ouiiiiiii 😬😬😬 aucun regret d’avoir promené ma maison 😅



En combien de temps voulais tu le faire?

Je n’avais rien décidé de précis. Je pensais doubler seulement 2 ou 3 étapes. J’avais imaginé mettre beaucoup plus de temps. Mais quand j’arrivais avant midi sur la fin d’une étape (tous les jours en fait 😅), je ne me voyais pas attendre là jusqu’au lendemain matin, donc je repartais. J’avais assez de nourriture pour tenir 12 jours.

Au final, j’en ai mis 9, et s’il n’y avait pas eu des alertes orages certains jours qui m’ont empêchée de repartir pour une autre étape, j’en aurais mis 8 et sans me mettre dans le rouge du tout.

Après ça, c’est très personnel, j’ai quand même pas mal l’habitude de courir en montagne et avec le trail et surtout l’ultra trail j’ai habitué mon corps aux efforts longs à bon rythme sans que cela ne soit trop traumatisant pour lui.



Qu’est ce qui a été le plus difficile?

Sans aucune hésitation, MON SAC!!! 16,5 kilos pour mon gabarit c’est énorme! La règle c’est normalement pas plus de 20% de son poids. J’aurais du avoir un sac de 11,3 kilos max. Mon omoplate me le fait encore payer, j’ai une belle contracture à mon épaule gauche (qui me pose déjà des souci sans sac, alors la, je vous laisse imaginer!). L’osteo va avoir du boulot!!!



Comment as-tu trouver les paysages?

A la hauteur de leur réputation! J’avais déjà fait pas mal de morceaux en rando à la journée, et c’est d’ailleurs ça qui m’avait donné envie de le faire en entier, car à chaque fois, c’était magnifique.

J’ai aussi adoré la différence entre le Nord et le Sud. On passe de la haute montagne aux vallées, il y en a vraiment pour tous les goûts, et j’ai eu l’impression de visiter plusieurs pays.




Peut on faire le GR20 si on a le vertige?

Euhhh, sincèrement, cela me parait compliqué pour la partie Nord. Dans le sud en revanche, quelques passages feront prendre sur soi, mais globalement plus faisable. Je conseillerais donc un demi GR20 dans ce cas 😊



Quel type de chaussure as-tu utilisées?

J’ai mis des chaussures de trail, j’ai choisi les wildhorse de chez Nike et j’ai été ravie de mon choix.

Habituellement, je cours en asics trabucco pro, je les adore pour leur accroche, leur légèreté mais l’amorti est limité. Je voulais une paire plus confort vu que j’allais beaucoup marcher.

Mes wildhorse ont une accroche moins performante que mes asics mais en terme de confort, ceux sont de vrais chaussons. Je n’ai pas du tout eu mal aux pieds et j’ai eu zéro ampoule 👌🏽 je suis donc très contente de mon choix, car ma traversée a été hyper confort à ce niveau la.

Je ne suis pas fan des chaussures de rando que je trouve trop rigides et qui provoquent à mon sens trop de frottements.

Les gens trouvent qu’elle tiennent mieux les chevilles, mais moi je n’en suis pas convaincu non plus 🤷🏽‍♀️ malgré ma cheville droite complètement instable, je préfère largement des chaussures de trail.

Mais les chaussures c’est un sujet très personnel, et il n’y a pas de bonne réponse je pense, juste une chaussure pour chaque pied 😉

Dans tous les cas, il faut en revanche prévoir une paire de chaussettes techniques, ça fait vraiment la différence pour prévenir les ampoules. Et si vous avez la peau fragile, prenez aussi de la crème nok.



Et pour finir, petit carrousel de photos souvenirs 🥰














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